Veg an' Bio

Graines germées en Suisse

Voici des informations complémentaires apportées par Carole Dougoud dans sa dernière newsletter :

Je reçois de nombreuses questions anxieuses à propos des graines germées et de la bactérie qui fait fureur dans les médias.
Voici mon avis suite à une petite enquête faite auprès de 2 grands producteurs de graines germées et de pousses en Suisse et en France. Vous aurez 2 mails car les textes sont trop longs.

SUISSE  Les graines sèches sont analysées régulièrement depuis toujours à cause des différentes bactéries qui sévissent dans l'alimentation (Bacillus Cereus, Escherichia Coli, Listeria et Salmonelles). Ce n'est pas la première fois qu'une bactérie pose des problèmes. Le dilemne est que sur une tonne de graines sèches avant germination, même en faisant 20 prélèvements, on ne peut garantir que le lot entier ait été vérifié par les analyses.
Est aussi analysée la production finale des pousses ou graines germées car c'est plus probablement pendant la production que le danger est le plus grand. Les ouvriers portent des uniformes, des masques et des gants de travail et ne sont pas autorisés à produire s'ils sont malades.

QUELLE SOLUTION ADOPTER ?   Le producteur suisse fait subir aux graines un trempage court de 2 à 3 min dans de l'eau à 55-60°C avec pour objectif de tuer les bactéries qui pourraient être dans la graine et qui ne résistent pas à cette température.
 

Surprise !

Une température de 55-60 ° je l'ai mesurée c'est un peu plus chaud que ce que j'ai indiqué dans mon livre.
En effet, vous avez pu lire que je recommande de faire le premier trempage à l'eau chaude pour gagner du temps et démarrer le métabolisme des glucides plus fortement. Quand je dis "eau chaude", c'est celle d'un bon bain donc à 45 ° pour ceux qui l'aime chaud !
Avec un thermomètre spécial cuisson, j'ai vérifié les températures suivantes :

• 50 ° = tout-à-fait supportable à la main d'adulte
• 55° = un peu chaud - on ne reste pas longtemps dans l'eau mais on n'a pas du tout l'impression d'être brûlé
• 60° = vraiment chaud, on se contente juste de passer le doigt sous le filet d'eau pour sentir mais on ne s'éternise pas.
  Par contre aucune impression d'être brûlé après.

Comme j'ai fait cela progressivement, je me suis dit que le meilleur moyen était de procéder de la même façon avec les graines. J'ai donc trempé les graines à 55-60°, j'y ai laissé le thermomètre et très vite la température s'est mise à descendre progressivement.
J'ai vraiment eu la sensation de ne pas brûler la graine, pas plus que ma main. Et les graines ont germé correctement suite à cela. 

Preuve de confiance

Ce que m'a dit le producteur est donc confirmé. De toutes façons, une firme qui livre la grande chaîne de magasins Manor ne plaisante pas et si ce producteur dit qu'elles germent correctement après ce traitement, il doit savoir ce qu'il dit.
Pour ma part, je lui fais confiance et je trouve ce procédé à la fois intelligent et autarcique.
Sinon comment savoir la qualité de nos graines.
Comme d'habitude, on doit se débrouiller seul en face des événements et couper en 4 ce qui est dit aux nouvelles à la Tv ou la radio (et je suis sympa !). Ne cédons pas à la panique qui incrimine les graines germées. 
Je viens de lire que les glaçons

La chlorophylle contre le cancer et contre les radiations

Si vous êtes fidèle lecteur, vous savez maintenant que notre grand crédo, c'est le vert et plus précisément sa forme la plus merveilleuse, la chlorophylle. Les preuves de ses propriétés fabuleuses ne manquent pas mais ne sont malheureusement pas assez diffusées et souvent méconnues du grand public. En voici encore deux, extraites et traduites d'un article de Jacob Handel, publié dans l'excellent magazine du Centre Hippocrates : 

Une preuve scientifique a montré que la chlorophylle et les nutriments présents dans les aliments verts offrent une bonne protection contre les chimiques toxiques et les radiations. En 1980, le Dr Chiu Nan Lai du centre médical de l'Université du Texas a rapporté que les extraits d'herbe de blé et autres feuilles vertes avaient une action inhibitrice sur les effets cancérigènes de deux mutagènes (le benzopyrene et le methylcholanthrene)*. Plus il y a de chlorophylle dans un légume, plus il aura une action protectrice contre les cancérigènes.

La chlorophylle peut réduire la capacité des cancérigènes à entrainer des mutations des gènes tel que l'ont montré plusieurs études en laboratoire. Les extraits de plantes riches en chlorophylle ainsi que les solutions d'un dérivé de chlorophylle (chlorophylline), inhibent considérablement les effets cancérigènes de l'alimentation classique et des chimiques environnementaux.

Les légumes verts procurent une protection contre les dommages des radiations** d'après les tests sur animaux. Cette information a été rapportée dans la littérature scientifique dès le début des années 50. Des rapports montrent que certains légumes réduisent de manière significative la mortalité des rats exposés à des doses mortelles de rayons X. Le brocoli vert foncé offre plus de protection que le chou vert clair. Dans des études plus récentes, les mêmes légumes ont montré qu'ils pouvaient réduire les dommages causés par les radiations. Ces effets protecteurs étaient plus prononcés quand des légumes verts encore plus foncés tels que feuilles de moutarde et feuilles de luzerne étaient utilisés. Lorsque deux ou plus de ces légumes verts étaient consommés ensemble, la résistance positive aux radiations est encore meilleure.

* Saunders, C. 1926. The nutritional value of chlorophyll as related to hemoglobin formation. Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (3172) P.788-789.

** Vous pouvez donc conseiller aux personnes de votre connaissance en cours de traitement par radiothérapie de consommer plus de chlorophylle.

Après la lecture de cet extrait d'article, si vous voulez profiter des bienfaits de la chlorophylle , pensez aux smoothies verts . Ils sont une façon simple et facile de consommer agréablement, et en même temps, plusieurs verdures riches en chlorophylle.

NOTE : Vous pouvez aussi lire l'article "Mangez vert, mangez solaire" par Claudine Richard, dans le dernier n° de juillet-Août 2011 du magazine BIOCONTACT (gratuit en magasins Bio).

Nadège 

La chlorophylle : soutien de toute vie humaine et animale

La chlorophylle est un pigment vert que l'on trouve dans toutes les plantes, les algues et les cyanobactéries (algues bleu-vert). Vitale à la photosynthèse, la chlorophylle permet aux plantes d'obtenir de l'énergie à partir de la lumière en convertissant les rayons du soleil en énergie chimique. Dans la mesure où toute vie sur Terre, à l'exception de quelques bactéries, est soutenue par le soleil, la photosynthèse est un processus fondamental et essentiel.

En plus de son rôle critique dans la photosynthèse, la chlorophylle est également un très bon indicateur des attributs de santé des aliments. Plus une plante comestible est vert foncé, plus cet aliment est riche en chlorophylle, et plus il est abondant en qualités nutritives. Les aliments riches en chlorophylle peuvent jouer un rôle dans la production de sang et dans la protection contre le cancer et les radiations. La chlorophylle a également de nombreuses utilisations thérapeutiques. Parmi celles-ci, la cicatrisation des plaies, la régulation du transit, la réduction du cholestérol, la détoxification et la désodorisation. La chlorophylle est une façon particulièrement unique d'améliorer ces problèmes parce qu'à travers des centaines d'expériences et essais sur les humains et de tests sur les animaux, la thérapie à la chlorophylle a prouvé qu'elle ne présentait aucune toxicité (absolument aucun effet toxique secondaire), qu'elle soit ingérée, injectée ou appliquée sur votre peau.

Aliments riches en chlorophylle :

• les algues et algues bleu-vert
• Les herbes de céréales (herbe de blé, d'avoine, d'orge ...)
• le sarrasin
• les pousses
• les épinards
• les asperges
• les poivrons rouges
• les brocolis
• les choux de Bruxelles
• les choux verts (toutes les variétés)
• le céleri
• les haricots verts
• les poireaux
• les olives vertes (il existe une variété d'olives vertes mûres, celles que nous trouvons en France ne le sont pas)
• le persil
• la Romaine
• les blettes ou poirées
• les feuilles de navet

Traduction d'un extrait d'un article du magazine du centre de santé "Hippocrates", écrit par Jacob Handel.

A défaut de pouvoir vous procurer des aliments frais, naturellement riches en chlorophylle, en quantité suffisante, vous pouvez ajouter à votre alimentation quotidienne, dans vos smoothies, jus de légumes ou de fruits par exemple, de la chlorophylle en poudre, déshydratée à basse température (ce qui aura préservé ses qualités nutritionnelles) ou encore un complexe de jus verts déshydratés.

Personnellement, bien que je prenne un litre de smoothie vert par jour et que j'essaie d'inclure plusieurs verdures par jour dans mon alimentation, je prends en complément des gélules de chlorophylle ainsi que de l'Ultimate Superfood, tous les jours. Je ne suis pas une grande fan des compléments alimentaires mais je place la chlorophylle à un autre niveau et ne la considère non pas comme un complément mais un indispensable élément de mon alimentation pour affronter les agressions auxquels mon organisme (nos organismes) doit faire face à notre époque.

NOTE : Vous pouvez aussi consulter avec intérêt sur cette page tous les articles écrits sur l'herbe de blé qui abordent ce sujet de la chlorophylle ou encore voir ces articles en entier, les uns à la suite des autres (le plus récent paru étant le premier) dans la catégorie "Herbe de blé".

Nadège

Radioactivité à l'ordre du jour : ce qu'il est bon de savoir

Il est d'actualité ces derniers jours de s'informer sur la radioactivité et surtout sur les moyens dont dispose l'individu lambda pour se protéger de ses excès (parce qu'elle existe à l'état "naturel", émise en doses infimes, inoffensives semble-t-il pour la santé humaine). Je vous propose donc à cet effet de lire ici un article qui me semble intéressant et instructif.

On y parle entre autres de l'alginate de sodium que vous trouverez dans les aliments mentionnés dans l'article en question et dans les nouilles de kelp. Mention est également faite de l'algue E3 AFA et de l'importance de la chlorophylle pour la protection contre les radiations. Dans nos divers articles sur l'herbe de blé sont indiqués les avantages de la consommation de cette chlorophylle que vous pouvez trouver si facilement en cueillant et en ajoutant à votre alimentation  quotidienne quantité de feuilles vertes*, ce qui peut être largement facilité avec les smoothies verts.

* Cueillettes sauvages dans des lieux non pollués, Herbe de blé à cultiver chez soi dans des plateaux tout comme les pousses vertes  -tournesol par exemple-, algues diverses...

 Mes cultures d'herbe de blé et de pousses de tournesol
(Depuis la prise de cette photo, 6 autres grands plateaux ont été ajoutés ainsi qu'une étagère entre les deux traverses en haut !)

Faute de comprimés d'iode, qui risquent d'être sur-consommés sans surveillance et sans informations avisées (allergie mortelle possible), on peut faire de son mieux sans aucun risque en choisissant ce qu'on met dans son assiette sur le long terme, chaque jour, à titre de prévention. Et ce n'est pas en augmentant votre consommation de sel "iodé" que vous vous protégerez : il faudrait littéralement vous empoisonner avec des quantités importantes de sel avant de recevoir la quantité d'iode adéquate (dixit Mike Adams). Il vaut mieux oublier cette option.

 

NOTE : Pour ceux qui sont anglophones vous pouvez lire ici l'article du Dr Cousens sur ce sujet brûlant. Si j'en ai la possibilité (peu probable faute de temps, hélas...) j'aimerais beaucoup un jour prochain traduire cet article.
Un autre article en anglais par Mike Adams peut vous être utile ici. Il concerne plus particulièrement les différentes variétés d'algues à consommer (Kelp, Nori, Kombu -une des teneurs les plus élevées en iode-, spaghetti de la mer (ou himanthalia elongata...encore dénommé "haricot de mer", récolté sur les côtes bretonnes)  pour leur important apport d'iode. Et pour ceux qui préfèrent les consommer cuites : la cuisson ne détruirait pas l'iode. L'iode est un minéral-trace ou oligo-élément et la cuisson, même à haute température, ne détruit pas les minéraux, seulement les vitamines, les protéines (les rendant à 50% non biodisponibles), et d'autres phytonutriments.

Vous pourrez lire la traduction de l'article du Dr Cousens dans cet article.

Colette

Leçon d'herbe de blé et germes divers par un chauffeur routier hors norme !

Qui a dit qu'il fallait de l'espace pour cultiver de l'herbe de blé et s'occuper de faire germer quantités de petites graines ?  En tout cas pas ce routier-là...

Vous découvrirez dans ces vidéos la remarquable organisation mise en place dans la cabine de son camion: Plateaux d'herbe de blé, germes de toutes sortes (alfalfa, pois chiches, haricots mungo, etc...) qu'il met dans ses sandwiches, réjuvelac (dont il boit 1 litre par jour...)., bocaux de trempage des graines, système d'arrosage et de rinçage... une petite merveille.

Et comme il le dit à la fin de la 1ère vidéo : " Si je peux le faire dans ce petit espace de mon camion, vous pouvez le faire dans votre maison ! ".

Dommage pour les non anglophones puisque ces vidéos sont en anglais. Mais les images sont compréhensibles par tous, alors ne manquez pas d'y jeter un œil, vous suivrez tout le processus à travers ces quatre vidéos, de la germination à l'extraction du jus.

Les plantes n'ont pas l'air de souffrir de l'ambiance musicale plutôt forte de la cabine (dans la 1ère vidéo) !

 

 

Dans la seconde vidéo il indique les produits qu'il utilise pour la pousse de son herbe de blé :

• "Ocean grown solution" (dans le grand bidon) que vous pouvez trouver ici (aux USA) ou ici (en Grande-Bretagne). Il en met environ 3 cl dans 4 litres d'eau pour l'arrosage de ses plateaux une fois par jour. Ce produit naturel et marin semble avoir une remarquable notoriété.
  
• une solution d'algues liquides (dans le petit flacon) qu'il ajoute à l'Ocean grown solution pour l'arrosage, à raison d'une c. à café pour 4 litres d'eau. Il s'agit de "Kelp liquide". En France vous trouverez chez les fournisseurs Bio ce genre de fertilisant en petit conditionnement.
• enfin la poudre du bocal dénommée Azomite, n'est autre que l'argile montmorillonite que l'on trouve facilement en France (Voir ce document). Si vous l'achetez en morceaux vous pouvez la pulvériser dans un blender et l'utiliser, comme il l'indique : 1/4 de tasse mélangée au terreau d'un plateau (6 tasses).

Il a deux plateaux d'herbe de blé dont il fait la coupe, alternativement, tous les 3 ou 4 jours. Il garde au frigo l'herbe coupée en sachet zippé et prélève ce qui est nécessaire à son jus quotidien (envir. 10 cl) jusqu'à la récolte du prochain plateau.

Colette

Guérir d'une gangrène, de façon naturelle

C'est ce qui est arrivé à Ann Wigmore lorsqu'elle s'est soignée elle-même de l'écrasement d'un pied par un wagon alors qu'elle était une toute jeune femme, et après avoir reçu comme tout pronostic l'amputation inévitable. Elle en raconte les détails dans son livre "Why suffer ? How I overcame illness and pain naturally", offert gratuitement en téléchargement par Jim Carey, si vous vous inscrivez à sa newsletter.
Voici la traduction du bref extrait concernant ce moment précis de sa vie :

J'essayais de manger tout ce que je pouvais trouver de vert. Mais mon oncle refusa de chercher des éventuelles plantes. Il était effrayé à l'idée que dans son ignorance il aurait pu m'apporter une végétation empoisonnée. Il me donna des fleurs, que je consommais goulument après qu'il m'ait laissée le matin. En me penchant sur le côté du banc j'étais capable de remplir mon estomac avec des herbes ordinaires, dont ma grand-mère croyait qu'elles contenaient tous les nutriments nécessaires à la santé humaine.

Et ainsi, au fil de longues journées, je pus obtenir la variété de nourriture dont mon corps semblait avoir besoin ; c'est-à-dire à la fois fraîchement cueillie et non traitée par la chaleur. En obtenant de mon oncle qu'il déplace le banc tout autour du jardin au prétexte que le soleil me toucherait mieux, je fus capable de fournir à mon corps de l'herbe fraîche chaque jour.

Avec le jeune chirurgien de l'hôpital se trouvait le "docteur aux favoris gris", comme ma sœur le nommait. Tous deux ils inspectèrent mes jambes. Finalement, ils discutèrent ensemble à voix basse et me dirent qu'ils avaient décidé d'annoncer à mon père que j'étais en voie de guérison. Ils l'appelèrent à la maison. Il écouta impatiemment, et l'information sembla le rendre furieux. Il ne pouvait pas comprendre ou accepter qu'il s'était trompé en prenant la décision de faire amputer mon pied...

Je fus reconduite à l'hopital Middleboro pour que les médecins me voient. Ils ne firent aucun commentaire, secouant à peine leurs têtes en inspectant les radios qui montraient que les os étaient fermement ressoudés. Tous les signes de gangrène s'étaient évanouis.

Ann Wigmore

 

Colette

Les médias "grand public" s'éveilleraient-ils à l'alimentation vivante ?

On peut se poser la question et se réjouir à la lecture d'un article intitulé "Croquez la vie" paru sous la plume de Martine Kurz dans le magazine ELLE (N° du 2.04.10). Un article bien fait, honnête, qui présente l'alimentation vivante tout en donnant quelques informations intéressantes, surtout pour les Parisiens... quand il s'agit de la fourniture de l'herbe de blé.

Nous avions déjà indiqué que cette précieuse herbe de blé, faute de la faire pousser soi-même, pouvait être achetée chez POUSSE-POUSSE (Voir liste des restaurants dans la colonne de droite). Désormais on peut également la trouver ici, ainsi que (et cette fois pas seulement pour les habitants de Paris), sur le même site, des informations sur les stages du Centre Hippocrate de Floride et sur son programme de santé.

Il est évidemment déjà arrivé ici ou là que d'autres médias, mais de moins grande audience, abordent le sujet. Je pense en particulier à l'excellent magazine  "Grandir autrement", qui avait fait paraitre l'an dernier quelques articles sur le "Cru" végétalien, auxquels nous avions participé (entre autres en donnant des recettes ).

L'union faisant la force, il n'y aura jamais trop de sites, de blogs, de magazines divers, de radios ou de TV à aborder ce sujet. Il est temps que l'information passe enfin dans le grand public... Merci donc à "ELLE" et à sa journaliste et merci aussi à Eve de nous avoir transmis l'article dont il est question.

Colette

Avoir de beaux cheveux naturellement et retarder l'effet de l'âge sur eux

 

Voici la traduction d'un article écrit par Tonya Zavasta sur son site.

Tonya est une magnifique russe d'une cinquantaine d'années, immigrée aux Etats-Unis  et qui en paraît presque vingt de moins. Sa beauté, sa santé, elle dit la devoir à l'alimentation vivante qu'elle a découvert il y a douze ans en faisant des recherches pour améliorer sa santé, devant faire face à de gros problèmes dans ce domaine depuis sa naissance.  Elle s'est spécialisée dans la beauté naturelle et elle nous parle ici de notre chevelure.

La suite de cet article sur notre nouveau site ici.

 

Nadège

L'herbe de blé et les animaux de compagnie

 

Nous ne sommes pas les seuls à apprécier l'herbe de blé et pas les seuls à qui elle profite (voir le programme de santé d'un cheval atteint d'un cancer dans cet article). Les chiens, les chats, les oiseaux et de nombreux autres animaux aiment l'herbe de blé aussi. Si vous avez un animal de compagnie, il sera très heureux de pouvoir consommer un peu d'herbe ou de jus d'herbe de blé.

Le Dr Ann Wigmore, qui est considérée comme la "grand-mère" du jus d'herbe de blé, avait choisi le blé parmi les autres graines parce que son chien l'avait lui-même préféré. L'herbe de blé a un goût sucré que les animaux aiment et il est difficile de consommer quelque chose que vous n'aimez pas. Les chats l'aiment autant. 

Si vous avez un animal, essayez avec lui. Il vous remerciera. La plupart des animaux de compagnie ne consomment pas assez de légumes et d'aliments crus. La nourriture qu'on leur sert la plupart du temps est cuite et transformée et beaucoup d'animaux sont avides de nourriture crue et nutritive. D'ailleurs, les chiens dans les parcs mangent d'eux-mêmes de l'herbe .

Le "Los Angeles Chronicle" a publié en 2008 un article sur les bénéfices de l'herbe de blé. Ils faisaient référence à des études sur des animaux à qui on avait donné de la chlorophylle. Ces études ont montré que lorsque les animaux qui avaient un  taux bas de globules rouges ou qui étaient très anémiques, consommaient de la chlorophylle, leur taux de globules rouges revenaient à la normale en 3-4 jours. Bien que beaucoup d'aspects de l'herbe de blé n'aient pas encore été étudiés, une chose que nous savons est que le jus d'herbe de blé est constitué d'environ 70% de chlorophylle. L'herbe de blé est donc bien plus que quelques poignées de pelouse !

 A défaut de faire pousser vous-même votre herbe de blé ou de la trouver fraîche, vous pourrez donner de la chlorophylle en poudre à votre animal de compagnie afin qu'il bénéficie quand même de ses fabuleuses propriétés. Il vous suffira d'ouvrir les gélules et de mélanger la poudre soit à sa nourriture soit à son eau.

Nadège

L'HERBE de BLE : un déodorant naturel, grâce à la chlorophylle

Voici le dernier article de la série commencée il y a quelques jours sur les bienfaits de l'herbe de blé, vus par le Dr Ann Wigmore. Il est constitué comme les précédents d'un extrait de son livre L'herbe de blé, source de santé et de vitalité  (en anglais :The Wheatgrass Book: How to Grow and Use Wheatgrass to Maximize Your Health and Vitality (Avery Health Guides)) :

Une manière évidente de tester l’effet de l’herbe de blé sur les toxines du corps, c’est l’absence d’odeurs corporelles constatée chez ceux qui l’utilisent. Dans une étude de R.W. Young et de J.S. Beregi, rapportée dans le Journal of the american Geriatric Society en 1980, soixante-deux pensionnaires de maison de retraite prirent des comprimés de chlorophylle. Bien que cette dernière soit moins active en comprimés que sous forme de jus, on put quand même constater son action dans le contrôle des odeurs corporelles et des matières fécales. La chlorophylle avait aussi réduit la constipation chronique et réduit les gaz.

En 1950, le docteur Howard Westcott montra que cent milligrammes de chlorophylle valaient tous les autres déodorants. Alors que la plupart de ces derniers se contentent de couvrir les mauvaises odeurs, il montra que les extraits de chlorophylle les neutralisaient avec succès dans les aliments, l’alcool et le tabac in vitro (dans un tube à essai). De plus, chez les malades et les volontaires, il contrôlait effectivement la mauvaise haleine, les odeurs de transpiration, les odeurs menstruelles et celles des urines et des selles.

 

Dans leur ouvrage Medecine of chlorophylle, les docteurs Keiichi Morishita et Kaneo Hotta, des scientifiques japonais ayant étudié des années durant les propriétés de la chlorophylle, rapportent qu’ils purent en observer les remarquables propriétés déodorantes. Au cours de l’un des tests, dix volontaires devaient manger de l’ail, puis absorber de trois à douze grammes de chlorophylle. Au bout de vingt minutes, on ne trouvait plus d’odeur d’ail dans l’haleine de huit des volontaires. Le même phénomène put être constaté après que des sujets, à des fins d’expérience, eurent absorbé de l’alcool et fumé des cigarettes. Il est un peu plus difficile de corriger l’odeur corporelle, laquelle vient de sécrétions internes qui deviennent désagréables par réaction avec les bactéries présentes sur la peau. Cependant, au bout de quelques semaines, les sécrétions responsables de l’odeur peuvent aussi être neutralisées.

 

Cela fait déjà un certain temps que les scientifiques connaissent les propriétés désodorisantes de la chlorophylle. C’est pour cette raison que certains médicaments, le chewing-gum, les produits pour rafraîchir l’haleine, les douches vaginales et les antiseptiques en contiennent.

 

Les enzymes, les acides aminés et la chlorophylle du jus d’herbe de blé contiennent des composés bactéricides tout particulièrement efficaces dans la destruction des bactéries anaérobies qui prospèrent dans un sang et des tissus mal oxygénés. Certaines infections, ulcères et phénomènes de putréfaction sont provoqués en partie par des bactéries anaérobies qui ne peuvent survivrent en présence d’oxygène ou d’agents oxygénants tels que la chlorophylle. Le jus d’herbe de blé rend inactives ces bactéries anaérobies et favorise la régénération des zones lésées. Cependant, il ne « pique » pas comme le font certains antiseptiques, et il ne génère aucun effet secondaire connu ni de réaction allergique.

 

Toute cette activité enzymatique de l’herbe de blé se résume en une fonction d’une importance vitale : une résistance accrue aux polluants, qu’ils soient internes ou externes...

 

Colette