Dommage pour les non anglophones... encore une fois !
Il s'agit d'une série d'entretiens, enregistrés à travers les Etats-Unis, et dont la première partie est disponible ici :
Vous pouvez vous enregistrer ici pour visionner les autres vidéos lorsqu'elles seront mises en ligne.
Quelques extraits de propos émis dans la 1ère partie par des professionnels de la santé (docteurs en médecine, naturopathes, conférenciers, homéopathes, etc... certains d'entre eux survivants du cancer), tous américains, qui n'hésitent pas à parler librement des aberrations médicales :
- Les étudiants en médecine sont éduqués pour soigner avec des médicaments, ils n'ont aucune idée des soins naturels... parce que les universités reçoivent des sommes énormes de l'industrie pharmaceutique...
- "Nous avons une licence pour tuer..." (dit par un médecin !)
- les traitements conventionnels sont comme une moquette posée sur du fumier pour le masquer, en ajoutant du parfum pour masquer l'odeur... mais le fumier est toujours là (la cause de la maladie !), et il y restera tant que vous ne l'aurez pas évacué...
- les drogues de la chimio CAUSENT le cancer (selon les études provenant de l'industrie du cancer et par le bureau de toxicologie des USA reconnaissant ces drogues comme carcinogènes)...
- les drogues de la chimio accélèrent la mort... et ceux qui les évitent survivent plus longtemps...
- aucun médecin, aucun scientifique ne peut prédire les conséquences de la prise de 4 ou 5 médicaments différents en même temps... parce que cela n'a jamais été étudié...
- un malade n'est pas malade à cause du cancer, il est malade et c'est pour cela qu'il a un cancer... donc traiter le cancer avec des drogues qui tuent n'a aucun sens : il faut traiter la "cause" du cancer, pas le cancer...
- dans les années à venir (vers 2020) la médecine à elle seule (traitements divers, drogues) sera responsable de 50% des cancers...
- la plupart des médecins ne prendraient pas et ne donneraient pas à leur conjoint(e) ou à leurs enfants les drogues qu'ils prescrivent à leurs patients...
et ainsi de suite....
Colette